Webinaire, Panel 8 | Vulnérabilité et contrôle : hypertrucages, partage d’images intimes et préjudices en ligne (1:31:18)
Dévoilement du Prix de dissertation Christine-Huglo–Robertson
Le jeudi 17 octobre 2019 Ι 15 h – 15 h 10
Lauréat : M. Xavier Dionne, étudiant de deuxième année, Facluté de droit de l’Université de Montréal
Panel No 8 | Panel étudiant : Vulnérabilité et contrôle : hypertrucages, partage d’images intimes et préjudices en ligne
Le jeudi 17 octobre 2019 Ι 15 h 10 – 16 h 30
Langue : Yuan Stevens (en anglais), Nareg Froundijian (en anglais), Suzie Dunn (en anglais)
Agrément : Formation dont l’admissibilité a été confirmée par le Barreau du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 1 h 20. / Accredited in provinces where CLE requirements for lawyers are mandatory. / Spécific accreditations: 50 minutes EDI (Ontario) / 1 hr 20 ethics (Saskatchewan)
Quels types de préjudices voit-on émerger à l’ère d’Internet, de l’intelligence artificielle et des médias sociaux ? Ces préjudices doivent-ils être considérés comme une nouvelle forme de violence, ou sont-ils un symptôme de problèmes sociaux préexistants affectant des personnes vulnérables ? Ce panel examinera les lacunes juridiques ouvrant la voie aux préjudices en ligne et les solutions extrajudiciaires prises par la société pour y remédier. Le droit est-il outillé pour résoudre efficacement les problèmes d’ordre social, éthique et juridique posés par les « hypertrucages », la « pornographique vengeresse » la « désinformation» et les « logiciels espions » ? Comment peut-on concilier la liberté d’expression et la protection du public ?
Modératrice
- Mme Eve Gaumond, étudiante, Faculté de droit, Université Laval, Québec
Conférenciers
- Me Yuan Stevens, chercheuse juridique en sécurité informatique et IA
- Me Nareg Froundijian, avocat en droit des technologies
- Me Suzie Dunn, professeure et candidate au doctorat, Faculté de droit, Université d’Ottawa–Section de common Law
Conférence annuelle 2019 sur «L’impact de l’intelligence artificielle et des médias sociaux sur les institutions juridiques»